Mam’zelle Bourgeois

Synopsis :

1901. La demeure de Germain Bourgeois s’apprête à recevoir amis et famille. Mais cette année, des agitations risquent fort de bouleverser la quiétude des lieux : Marie, la benjamine de la famille Bourgeois, s’efforce de faire le deuil d’une passion amoureuse dévolue au séduisant André Dupré. Ce dernier est l’amant de la tante de Marie, Ninon de Koch. Celle-ci ne supporte plus les reproches de son frère souhaitant qu’elle adopte une vie moins libertine. Pour se venger, elle propose à André de corrompre les filles de Germain Bourgeois. Marie se retrouve dans un tourbillon d’affaires familiales, maritales et sentimentales, dont la facétie et la dramaturgie n’auront d’égales que le cynisme et les faux semblants de cette société en pleine mutation.

Mon avis:

Ce livre fut pour moi, une nouvelle expérience. Jusqu’ici, je n’avais jamais osé me lançais dans une histoire se déroulant à cette époque, pourtant les années 1900, à travers la plume de Karima a su me faire rêver…enfin presque si l’on met de côté les mésaventures de la famille Bourgeois.

Tout d’abord, ce décor de rêve, pour moi inhabituelle, a su me conquérir, puis chacun des personnages de l’histoire à faire le reste. Mélangeant amour, trahison, désillusion.

Pas évident pour une famille de la bourgeoisie, pour qui la réputation est plus importante que tout, de faire face aux multiples problèmes de la vie.

Mais heureusement, que l’amour reste présent. Sans spoiler l’histoire ( chose que j’ai en horreur) chaque personnage sait apporter son grain d’importance à l’histoire, chacun parviendra à vous faire sourire, mais parfois aussi à vous faire grincer des dents, mais c’est ce qui donne tant à ce livre.

N’ayez pas peur de rejoindre cette surprenante famille, car un bon moment vous attend.

Je tiens à remercier Karima Djelid, de m’avoir permis de découvrir cette histoire, d’avoir su me rendre amoureuse de cette époque magnifique, mais aussi tout simplement d’avoir su me faire confiance. Bonne continuation à vous.

Une réflexion sur “Mam’zelle Bourgeois

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